Les voitures représentent des coûts fixes mal-aimés en temps de crise. Résultats: malgré les primes à gogo, les voitures se vendent mal. Toutefois, les gens ont toujours besoin de se déplacer. La location en courte durée semblerait donc pouvoir profiter du climat d'incertitude économique.Pourtant, Jan Löning, le patron d'Avis France, fait part des prévisions de sa société de location sur le blog de l'argus: Un retrait des activités de 5 à 10%. Ceci car tout un chacun cherche à faire des économies.Le comportement rationnel consistant à passer à la location en renonçant à la propriété du véhicule est un phénomène de moyen. D'où l'optimisme des agences de location, malgré des temps difficiles.Avis revendique la place de numéro un en France pour la location de voitures de courte durée (hors utilitaires), avec une part de marché de 24,5%, devant Europcar (23,7%) et Hertz (22,3%), en se basant sur la dernière étude TNS Sofres pour le Conseil national des professions de l'automobile (CNPA).